Les industries agro-alimentaires et notre santé

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Présentation

Le blog http://lobbyalimentaire.canalblog.com/ est un blog créé dans le cadre du Module Expression, communication, documentation du Lycée Agricole d'Aix-Valabre

Éditeur

Responsable de la rédaction du blog : BELLAZINI Carla, BROCQ Fanny

Hébergement

Le service http://lobbyalimentaire.canalblog.com/  est hébergé par Canalblog.

Propriété intellectuelle    Synthèse de documents et sources d'information utilisée sont publiées dans la Bibliographie

Les lobbys alimentaire 

https://www.clemi.fr/fr/ressources/nos-ressources-pedagogiques/ressources-pedagogiques/comment-les-lobbys-industriels-peuvent-manipuler-linformation-scientifique.html

https://la-marque.org/index.php/la-marque-sous-influence-lobbying-et-marketing-dinfluence/

Leurs méthodes d'influences (Voir diapo)

https://www.capital.fr/economie-politique/greenpeace-sattaque-aux-lobbies-de-la-viande-et-a-leur-methodes-pour-pousser-a-la-consommation-1426377

Les manipulations des lobbys 

https://www.huffingtonpost.fr/2016/09/13/lobby-du-sucre-scientifiques-gras_n_11992974.html

https://www.moustique.be/actu/2015/06/19/lobby-sucrier-les-memes-methodes-que-pour-le-tabac-136579

https://www.lemonde.fr/sante/article/2015/03/10/comment-les-industriels-du-sucre-ont-detourne-le-programme-dentaire-americain_4590955_1651302.html

https://basta.media/Convention-citoyenne-pour-le-climat-Reseaux-sociaux-manipulations-astroturfing-comment-les-lobbys-industriels-avancent-masques-Livre-Les-gardiens-de-la-raison

Inclinaison du gouvernement envers les lobbys

https://www.vie-publique.fr/eclairage/271135-groupes-dinterets-lobbying-vers-un-controle-accru

https://rmc.bfmtv.com/actualites/sciences-nature/les-lobbies-ont-ils-trop-d-influence-sur-le-gouvernement-ca-fait-debat-sur-rmc_AV-201808290387.html

https://www.leparisien.fr/politique/comment-les-lobbys-s-immiscent-dans-la-fabrique-de-la-loi-29-08-2018-7868979.php

Influence lobbys aux petit producteurs

https://www.natura-sciences.com/s-adapter/industrie-agroalimentaire-circuits-courts888.html

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/quand-les-lobbys-industriels-mettent-a-genoux-les-petits-agriculteurs_1100402.html

Les moyens pour lutter contre les lobbies, nutriscore

https://www.cairn.info/histoire-secrete-de-la-ve-republique--9782707153500-page-654.htm

Nouveaux modes de consommation pour lutte ? (Voir diapo)

Le marketing, un type de publicité qui influence fortement notre type de consommation  :

https://www.cairn.info/revue-management-et-avenir-2010-7-page-120.htm

https://fondationolo.ca/blogue/alimentation/mieux-comprendre-le-marketing-alimentaire/#:~:text=Le%20marketing%20alimentaire%2C%20c%E2%80%99est%20quoi%3F%20Le%20marketing%20alimentaire,d%E2%80%99une%20marque%20populaire%20de%20pain%2C%20c%C3%A9r%C3%A9ale%20ou%20yogourt.

https://la-marque.org/index.php/la-marque-sous-influence-lobbying-et-marketing-dinfluence/

https://www.e-marketing.fr/Thematique/retail-1095/Breves/Marketing-alimentaire-comment-retrouver-confiance-consommateurs-343299.htm

Les addictions

http://sos-addictions.org/les-addictions/les-addictions-theme-par-theme/les-addictions-alimentaires

https://www.monde-dequilibre.fr/addiction-alimentaire/

https://www.stress-chronique.fr/addiction-alimentaire/

http://www.cultures-sucre.com/pro-de-sante/addiction-alimentaire-consensus-controverses-et-pistes-de-recherches/

Les maladies engendré par notre alimentation

https://additif-alimentaire.info/dossier/maladies-liees-a-lalimentation/#:~:text=En%20raison%20de%20nos%20modes%20de%20vie%2C%20de,autant%20de%20troubles%20dus%20%C3%A0%20une%20alimentation%20d%C3%A9s%C3%A9quilibr%C3%A9e.

https://lewebpedagogique.com/svt3ic/mode-de-vie-et-sante/les-maladies-nutritionnelles/

https://lestylefou.ru/sant-et-bien-tre/1436-10-maladies-causes-par-des-carences.html

https://amelioretasante.com/les-dangers-dune-mauvaise-alimentation/

https://www.futura-sciences.com/sante/dossiers/medecine-maladies-role-alimentation-1017/

L'alimentation et notre cerveau

https://blognutritionsante.com/2019/01/29/alimentation-cerveau-memoire/#:~:text=En%20effet%2C%20en%20plus%20de%20notre%20%C3%A9tat%20de,r%C3%A9duire%20le%20risque%20de%20d%C3%A9velopper%20la%20maladie%20

https://yourbrain.health/fr/alimentation-cerveau/

https://stephanemigneault.com/influence-alimentation-sur-la-sante-psychologique-mentale/

https://www.cerveau-en-forme.fr/blog/alimentation-saine-equilibree-pour-garder-cerveau-en-bonne-sante

https://blognutritionsante.com/2019/01/29/alimentation-cerveau-memoire/

http://www.volleyball.qc.ca/limpact-de-lalimentation-sante-nos-performances-sportives-3e-partie

Alimentation et capacité physique

https://www.bulk.com/fr/the-core-fr/le-role-de-lalimentation-sur-les-performances-physiques/

https://www.alimentationcitoyenne.fr/quel-est-le-role-de-lalimentation-sur-la-sante/

https://www.caminteresse.fr/sante/alimentation-activite-physique-les-bons-reflexes-en-periode-de-confinement-11136187/

https://www.femininbio.com/societe/actualites-et-nouveautes/bien-nourrir-son-cerveau-le-documentaire-sur-lalimentation-le-cerveau-a-voir-sur-arte-58255

Expérience scientifique ayant pour but de démontrer l’enjeu d'une bonne alimentation

voir la video « BIEN NOURRIR SON CERVEAU » (lien de la vidéo: https://www.arte.tv/fr/videos/082725-000-A/bien-nourrir-son-cerveau/ ) pour les expériences

- Felice jacka est une chercheuse et professeur à l’université de Melbourne. Dans ce documentaire son rôle est d’expliquer l’étude quelle a menée sur l’alimentation des femmes enceinte et leurs impacts sur le comportement de leurs enfants 5 ans après leur naissance. Elle prend la parole dans un parc pour enfant sous forme d’interview.

- Docteur Sophie Layé, professeur à l’université de Bordeaux. Elle est interviewé, elle explique l’étude qu’elle a menée sur le manque d’Oméga 3 et les conséquences sur le cerveau et les neurones.

- Docteur Caroline Habold, professeur à l’université de Strasbourg, elle a fait un étude sur les carences en vitamine B3, les repas pauvre et très peu varié. Elle prend la parole dans un champs de maïs en gros plan et sous forme d’interview.

- Docteur Ap Zaalberg et travaille au centre de recherche du ministère de la justice au Pays-Bas. Il a effectué une étude sur la réduction de l’agressivité et la violence grâce à une alimentation plus vitaminé. Il est filmé dans une prison sous le forme d’une interview.

- Docteur So Young Park et professeur à l’université de Lüberk, Elle a réalisé une étude sur le faite que notre alimentation exerce une influence sur nos pensées et nos décisions

-Docteur Eric Stice, chercheur principale a l’institut d’Oregon, il a fait son étude sur le circuit de récompense afin de remarquer si oui ou non, lorsque l’on est addictifs il s’active de la même manière que si nous ne le sommes pas.

- Carlos Ribeiro, docteur, travaille au centre de recherche a Champalimaud a Lisbonne. Il a étudié les carences en protéines chez les mouches et leurs impacts.

- John Cryan, il étudie les transplantations de bactéries sur des souris anxieuses et d’autres non. Il a découvert que les bactéries avaient une voix de communication entre intestins et neurones.

Pour conclure, on comprend donc que les lobbys alimentaires nous manipulent depuis bien des années et que malgré tout, nous ne pouvons pas lutter contre eux autrement qu'en changeant notre manière de consommer.

En effet, il s'agirait de privilégier tous les produits ayant un nutriscore assez élevé afin d'améliorer dans un premier temps notre alimentation mais dans un deuxième temps cela agira sur nos décisions, nos réflexions, notre concentration et donc sur notre santé.

Comme vu précédemment l'alimentation joue enormement sur notre corps, il se trouve que celle-ci nous impacte, soit d'une manière positive (comme en ayant de bonnes décisions, en se sentant bien dans son corps et dans sa tete) soit alors de manière négative avec des maladies, des addictions.

Les lobbys alimentaires du sucre et bien plus utilisent tous les mêmes méthodes de manipulations et d'influences vu la puissance qu'ils ont réussis à acquérir avec le temps, désormais les lobbys alimentaire se retrouvent dans l'état et aide dans la décision des lois, ce qui leur permet d'éviter tout ce qui pourrait leur poser problèmes, tel que le nutriscore sur lesquels ils ont votés contre et qui n'est pas obligatoire, ce qui leurs permet de ne subir que très peu voir pas de pertes de bénéfices.

On comprend donc qu'une bonne alimentation est importante malgré le fait que les lobbys nous poussent à y croire le contraire, notre manière de consommer à un rôle important que ça soit sur notre corps ou notre cerveau (Pour mieux comprendre je vous prierais d'aller voir l'article "Bien nourrir son cerveau" et de cliquer sur le lien afin de visionner une vidéo d'études)

Les expériences que je vais vous exposez ici sont tiré du documentaire de Arte « Bien nourrir son cerveau » .

Alors tout d’abord, la première expérience que je vais vous présenter a été expérimenter par Felice jacka, une chercheuse et professeur à l’université de Melbourne. Dans ce documentaire elle explique l’étude quelle a menée sur l’alimentation des femmes enceinte et leurs impacts sur le comportement de leurs enfants 5 ans après leur naissance. Elle prouve à travers des tests que les mamans qui ont tendance à avoir une mauvaise alimentation ( trop sucré, produits transformé, trop salé…) engendre des bébés plus agressive, plus colérique et plus capricieux, il y a donc un impact sur la santé psychique. En grandissant, les enfants qui ont été exposer à une mauvaise alimentation sont des enfants qui vont faire plus de cauchemar, qui seront plus inquiet et anxieux. L’alimentation à donc un impact conséquent sur le comportement et l’humeur des enfants et des bébés.

Ensuite la Docteur Caroline Habold, professeur à l’université de Strasbourg, elle a mené une étude sur les carences en vitamine B3, les repas pauvre et très peu varié. Caroline Habold a remarqué qu’il y avait un déclin d’hamster des champs du au repas pauvre et pas varié. Elle a fait des expérience sur des souris, elle les a nourrit qu’avec du maïs. Elle a pu remarqué que les femelles devenaient agressive , plus sensible puis elle pouvais dévoré leur bébés dès le premier jour de leur naissance.

Le Docteur Ap Zaalberg, travaille au centre de recherche du ministère de la justice au Pays-Bas. Il a effectué une étude sur la réduction de l’agressivité et la violence grâce à une alimentation plus vitaminé. Ap Zaalberg a essayé de démontrer en faisant des tests sur des prisonnier qu’une alimentation plus vitaminé pourrait réduire l’agressivité et la violence. Le résultat qu’il a pu remarquer à al fin de cette expérience, c’est qu’avec un régime plus vitaminé, il y avait eu moins de placement a l’isolement et moins de violence.

Et pour finir le Docteur So Young Park, professeur à l’université de Lüberk, Elle a réalisé une étude sur le faite que notre alimentation exerce une influence sur nos pensées et nos décisions. Elle a fait son expérience sur un homme qui devait résoudre plusieurs dilemmes. Il a été prouvé au cours de cette expérience qu’un déjeuner protéiner, les personnes sont plus tolérante aux offres contrairement à un déjeuner plus riche en glucide, les personnes deviennent plus intransigeante face aux offres injustes. A travers un prise de sang elle a encore plus appuyer sa théorie. La tyrosine et la dopamine sont important pour le cerveau il assure la communication entre les neurones. Les personnes qui ont plus de tyrosine dans le sang accepte plus facilement l’offre.

Je vous ai présenté 4 expériences de ce documentaire mais il y en a 8 au total, je vous met donc le lien du documentaire de Arte pour les plus curieux. 

https://www.arte.tv/fr/videos/082725-000-A/bien-nourrir-son-cerveau/ 

Dans cet article nous allons parler de l’influence de notre alimentation sur nos capacité physique.

Il existe trois catégories de nutriment essentiel pour nos pratique sportive : les glucides, les lipides et les protéines.

Les protéines aident à la construction musculaire. Elles sont indispensable dans la contraction musculaire et jouent un rôle dans la performance sportive. En France, les recommandations nutritionnelles en protéines données par le Programmes National Nutrition Santé et l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments est de 0,83 kg par poids de corps pour un adulte. L’apport nutritionnel recommandé varie en fonction de votre objectif et de l’intensité de vos entraînements, si vous vous entraînez de façon intensive, il vous faudra adapter vos macros en conséquence.

Quand on pratique un sport, quel qu’il soit, on a aussi besoin d’énergie, que l’on retrouve dans les glucides. Il est important d’absorber une quantité suffisante d’aliments riches en glucides afin d’assurer un entraînement intense et optimiser la récupération musculaire.

Il est aussi important pour les sportifs de regarder de prêt leur consommation de lipides . Nous savons que les lipides sont des nutriments vitaux et qu’un déficit de certaines graisses peut nuire à la santé, aux performances et limiter la croissance musculaire. Ils forment un groupe de nutriment qui transportent les acides gras de sources animale ou végétales. Ils existent donc plusieurs sortes de lipides dans l’alimentation : Les acides gras polyinsaturés, appelé les acides gras, essentiels car le corps ne sait pas les fabriquer, il en existe deux sortes : les Oméga 3 et les Oméga 6. Elles ont un impact positif sur les taux de lipides dans le sang et ont un effet protecteur reconnu sur la fonction cardiovasculaire , mono insaturés, ils se trouvent dans les graisses animales et végétales sous formes d’acide oléique, ils permettent de réduire le taux de mauvais cholestérol et donc à réduire le risque de maladies cardiovasculaire, saturés et les acides gras trans, se rencontrent dans les aliments industriels, leur consommation n,’est pas nécessaires, ni bénéfiques à la santé contrairement à celles des autres acides gras naturels. Leur consommation régulière augmente notamment les risques de maladies cardio-vasculaire, même à faibles doses et risques de cancer du sein.

Les vitamines contribuent à la protection des cellules des muscles pendant l’effort et à leur réparation pendant la phase de récupération. Les sels minéraux sont indispensables à la contraction des muscles et participent au fonctionnement du système nerveux. Les sportifs pratiquant une activité de manière régulière et intensive doivent donc veiller à leur apports alimentaire et ce en termes de vitamines et d’oligo-éléments, car ils sont tendance à se retrouver en carence plus rapidement.

Une bonne alimentation est donc un facteur important pour l’amélioration des performances physiques ! Même immobile, nousconsommons de l’énergie et ceci pour maintenir la chaleur du corps autour de 37° C, quel que soit le climat.

« Vous êtes ce que vous mangez », ce dicton prend de plus en plus de sens au fur et à mesure des découvertes de l’impact de ce que nous mangeons sur notre santé mentale. En plus de notre état de santé et de bien-être, notre alimentation semble notamment avoir un impact sur notre cerveau et notre mémoire. Ce que l’on mange a en effet un impact direct sur la santé et le développement de nos neurones, mais aussi sur le fonctionnement de la mémoire, la capacité de concentration et la capacité d’apprentissage.

Aujourd’hui, on sait que l’intestin et le cerveau son étroitement connectés. Relié au cerveau via des nerfs sympathiques et parasympathique, l’intestin communique en permanence avec le système nerveux centrale. Des faits surprenants ont ainsi été mis en lumière par les recherches scientifiques récentes, par exemple le fait que 95 % de la sérotonine ( neurotransmetteur couramment appelé « hormone du bonheur ») est produite dans l’intestin et non dans le cerveau !

Un autre fait surprenant découvert récemment est l’existence de plus de 10 000 milliards de micro-organismes, principalement des bactéries dans l’intestin, la flore intestinale. Ces bactéries ont un rôle important pour le cerveau puisqu’elles vont produire près de 200 millions de neurones et qu’elles libèrent des hormones et molécules indispensables pour son bon fonctionnement.

Donc prendre soin de son intestin et de son microbiote, c’est donc contribuer à préserver la santé de son cerveau plus longtemps, et ce à tout âge. Les chercheurs se penchent actuellement sur le lien entre déséquilibre du microbiote et maladies neuro-dégenératives telles que la maladie de Parkinson ou la maladie d’Alzheimer

Le type de nourriture que nous ingérons peut influencer notre mémoire comme une étude qui a été à l’Université Macquarie, les personnes qui suivent un régime occidental (riche en gars et en sucres, et pauvre en fruits et en légumes), auraient de moins bon résultats dans les tests de mémoire, et seraient plus lents pour apprendre de nouvelles choses. Cela pourrait s’expliquer par le fait que ce type de régimes rendrait plus difficiles la suppression ou le contrôle des souvenirs positifs en relation avec la nourriture, même quand nous sommes rassasiés. Ces souvenirs satureraient l’hippocampe, structure cérébrale directement liée à la mémoire, rendant difficile notre apprentissage et la régulation des aliments ingérés, favorisant ainsi l’obésité.

Un régime malsain, riche en sure, en sel, en aliments pré-cuisinés et en viandes grasses augmenterait les symptômes dépressifs. La consommation de boissons sucrées, spécialement les « lights », ont un effet contraire, augmentant ainsi les risques de dépression

La surconsommation de sucre dans nos aliments influence le fonctionnement de nos neurotransmetteurs qui sont des molécules qui transmettent les informations d’un neurones à l’autre.

L’alimentation à un rôle très important sur notre santé.

Les lobbys alimentaire ont une très forte influence sur notre santé en plus de nous pousser à toujours plus consommer, leur produits et leur fast food son bourré de sucre, de gras, de sel et d’addictif. Cette incitation engendre des maladies chronique qui sont la première cause de la mortalité dans le monde. Donc en raison de nos modes de vie, de nombreuses maladies sont liées à l’alimentation. Obésité, diabète, excès de cholestérol, carences en vitamines, trouble de l’alimentation, maladies cardio-vasculaires, ostéoporose, cancers sont autant de troubles dus à une alimentation déséquilibrée.

Le surpoids et l’obésité sont définis par L’OMS comme « une accumulation anormale ou excessive de graisse qui représente un risque pour la santé » et de développer des maladies chroniques. Une mauvaise alimentation et la sédentarité sont les causes majeures de la prise de poids.

Notre source d’énergie principale et le glucose. Pour que l’organisme puisse l’utiliser, il faut qu’il soit transporté par le sang à l’intérieur des cellules. On parle de diabète quand la glycémie ( tau de sucre dans le sang) est trop élevée. Le diabète de type 2 est dû à une alimentation trop riche en sucres et en graisses. Dans 80 %, me diabète est dû à l’obésité donc à l’alimentation. Le diabète de type 2 peut causer diverses complications s’il n’est pas traité et bien suivi. Pratiquement toutes les parties du corps peuvent subir les contrecoups d’un diabète mal contrôlé : système cardio-vasculaire, yeux, reins, nerfs et pieds.

Puis nous avons le cholestérol qui est une substance indispensable à l’organisme, la majeure partie est fabriqué par le fois, mais nous en apportons aussi par l’alimentation ( œufs, abats, beurre, crème). On parle de bon et de mauvais cholestérol mais il s’agir de leur transporteur, les lipoprotéines. Les LDL favorisent la formation de plaques d’athérome alors que les HDL permettent l’élimination du cholestérol en excès dans les cellules. Si le taux de cholestérol dans le sang est trop élevé, on parle alors d’hypercholestérolémie, avec des graves conséquences sur la santé cardio-vasculaire. Le cholestérol se dépose sur les parois des artères (plaques, d’athérome), réduisant leur calibre et rendant le passage du sang plus difficile, puis formation de caillot.

Ensuite l’alimentation peut aussi engendrer des carences vitaminiques

- vitamine C ( acide ascorbique) : les carences ont été découvertes lors des longs voyages des marins qui ne mangeaient que des aliments secs, dépourvus de vitamine C. Ils étaient tous atteints de scorbut : épuisement, déchaussement des dents, dégénérescence musculaires, anémie

- vitamine D : une carence peut causer rachitisme et l’ostéoporose, car la vitamine D est nécessaire à la fixation du calcium dans le tissus osseux. Au contraire trop de vitamine D se caractérise par une hypercalcémie ( taux de calcium dans le sang trop élevé) et par des troubles rénaux

- vitamine A : sans elle , on observe des retards de croissance chez les enfants, une baisse de l’immunité et de cécité nocturne. Par contre, en excès, la vitamine A provoque des nausées, des troubles de la peau et du fois ainsi que des malformations fœtales chez les femmes enceintes.

Ou encore elle peut provoques des troubles du comportement alimentaire comme la boulimie qui est une consommation compulsive de quantités considérables de nourriture, avec ou sans vomissement. Elle touche surtout les femmes dès leur adolescences. Cette maladie est souvent comparée à une addictions, avec au final un regard sur soi très négatif, de la colère et de la culpabilité. Il y a aussi l’anorexie qui est du à un refus de manger, amaigrissement, un perte d’appétit, l’anorexie peut avoir de graves conséquences sur la santé, avec des risques de mortalité. On parle d’anorexie mentale quand la peur de manger augmente avec la perte de poids, et déni de la maigreur observée dans le miroir.

Mais encore l’ ostéoporose qui est une maladie qui provoque la fragilité des os, avec des risque de fracture ou de tassement des vertèbres, due à une carence en calcium et en vitamine D chez les personnes âgées. Les femmes sont plus touchés par l’ostéoporose en raison des changements hormonaux lors de la ménopause.

Et pour finir nous avons les risques de cancers, on pourrait croire que les cancer non aucun rapport avec notre alimentation est bien si ! Avec le vieillissement de la population, le cancer est le problème croissant et une cause majeure de mortalité. Les facteurs alimentaires sont responsables pour un tiers des cancers. L’alcool et le tabac ne font qu’accroître la donne. Le foie est endommagé par l’abus d’alcool, l’estomac par la consommation élevée d’aliments salés. L’obésité pourrait développer le cancer du pancréas, du côlon, du sein ou de la prostate.

Je pense que maintenant, après toutes les maladies que je viens de vous énumérer causé par l’alimentation , vous allez faire attention à ce que vous mangez !

Mais l’alimentation n’atteint pas que le corps, elle provoque aussi des problèmes sur le cerveau.

L’addiction est un phénomène qui se repend de plus en plus dans notre quotidien. Une addiction c’est une dépendance, une envie importante, répétée et irrépressible de faire ou de consommer quelque chose en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s’y soustraire. Elle se présentent sous formes diverses et peuvent apparaître à tout âge, notamment chez les adolescents et les jeunes adultes. Ils sont très fréquent et peuvent survenir chez n’importe quelle personne.

Il faut faire la différence entre être gourmand et être addict, ce n’est pas forcément la même chose.

L’addiction alimentaire, comme les autres addictions, c’est une maladie du cerveau, c’est à dire que ce n’est pas notre estomac qui nous réclame mais c’est notre cerveau. Comme touts les addictions , on retrouve cette perte de contrôle, cette compulsion, ce besoin irrépressible de manger, on sait qu’il ne faut pas le faire, qu’il y aura des conséquence mais on a beau le savoir on n’y arrive pas. Et ça c’est typique de l’addiction. Mais l’addiction alimentaire n’est pas classé dans le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, bien qu’elle se caractérise par des crises de boulimie, des fringales et un manque de contrôle sur la nourriture.

Quand on mange, on se sent immédiatement soulagé, détendu. Bien-sûr, on a plaisir à manger mais quand on mange de façon addictive ça va au-delà du plaisir gustatif. Ça fait du bien, ça fait secréter de la dopamine de la même façon. On n’est pas accro à la substance dans l’aliment, on est accro à notre propre dopamine comme quand on est accro à internet ou au jeux. Il n’y a pas de substance dans internet, c’est nous qui secrétons notre propre substance. Dans l’alimentation, à ce jour, il n’y a pas de substance addictogènes détectées, ce qui fait dire au nutritionnistes que ce n’est pas une addiction , mais c’est une addiction comportementale qui va nous faire ce même plaisir, ce même soulagement que l’on retrouve dans d’autres addictions

Mais cette addictions à la nourriture n’est pas sans conséquence ! Elle peut engendré une multitude de problème qui agit sur notre santé. Elle provoque de nombreuses maladies, elle agit sur nos capacités intellectuelle et physique.

Le marketing est une technique des grandes enseignes qui a pour but l’étude des besoins, attentes et comportements des consommateurs en vue de leur proposer des produits ou des services adaptés. Le marketing a pour but de rencontrer la demande : pour cela il faut d’abord la comprendre ! Il crée en permanence de nouvelles tendances alimentaires, de nouveaux biscuits, des nouvelles recettes… et il encourage les consommateurs à acheter certains aliments ou boissons ou des aliments pour obtenir des articles promotionnels comme des points de fidélité par exemple.

Les marques elle aussi s’intéressent à l’avis, L’opinion voir les croyances des consommateurs dans le but d’augmenter le niveau d’engagement de chacun d’entre nous envers elles. Dans une conjoncture de défiance envers les marques et le marketing. Les marques s’interrogent sur le mode de relation qu’elles peuvent entretenir avec leurs consommateurs qui leur permette de continuer de discuter avec eux

Le marketing est par tout dans notre vie quotidienne ! Nous pouvons le retrouver à travers des concours et des ventes promotionnelles, sur nos télévisions, nos radios, nos téléphones puis sur les réseaux sociaux avec de nombreuses célébrités qui collaborent avec les grandes marques pour promouvoir leurs produits. En effet les relais d’opinions que sont les influenceurs sur les réseaux sociaux, peuvent contribuer à rassurer et crédibiliser leurs produits et leurs services. Les influenceurs par leur expertises, leur contenus et leurs actions orientent les opinions et les comportements des communautés. Là où la célébrité séduit son image, l’influenceur séduit par son jugement motivé. L’affinité des influenceurs avec les marques relèvent d’une convergence d’intérêt pour le sujet. Particulièrement utiles pour diffuser l’information ils relaient les messages sur les réseaux sociaux et participent aux tests produits. On choisit son influenceur selon son audience sur les sujets concernés. On mesure l’efficacité, non seulement par le nombre de « followers » mais aussi par la qualité des commentaires, le nombre de mentions sur les blogs et les réseaux sociaux et le nombre de partages des contenus.

Le marketing peut également vous cibler en fonction de données personnelles telles que l’âge et le sexe mais aussi l’historique des achats et l’historique de navigation sur le web.

La publicité comportementale se fonde sur nos données personnelles et nos activités en ligne au fil du temps afin de diffuser a notre intention des publicités ciblées.

Mais ces techniques de la part des marques pour nous pousser à consommer leur produits peuvent-elles nous influencer sur notre santé ?

Le nutriscore est un moyen de lutter contre le lobbying. En effet le nutriscore est un logo s’inspirant du code couleur des feux de circulation, celui-ci permet tout d’abord de mieux classer nos produits et nous permet donc de faire plus attention à notre alimentation.

 Ce nutriscore se calcule sur 5 lettres allant de A à E, il se calcule pour 100 grammes de produit et vise à permettre aux consommateurs de se renseigner sur la teneur en nutriments et les aliments qu’il faudrait favoriser comme les fruits, légumes, fibres…, mais aussi sur les aliments n’étant pas vraiment bon pour notre santé comme les acides gras saturés, le sel.

Cette aide est donc très pratique sur la prévention et l’attention des consommateurs sur leur alimentation. Le score obtenu permet donc de définir une lettre sur le produit.

La lettre A est donc mise sur la couleur verte permettant de comprendre que c’est un aliment favorable et bon a notre santé, quant a l’inverse la lettre E se situe dans le rouge influençant les consommateurs à se tourner vers des produits moins risqués. Le nutriscore est donc un moyen efficace afin de faire prendre conscience aux consommateurs de leur bonne alimentation ou non

Malheureusement les lobbys veulent tuer le nutriscore afin de se permettre une influence sur les consommateurs car cela leurs ferait perdre enormement de bénéfice.

On comprend par la que les lobbys grâce a leurs méthodes d’influences se rendent aux conférences, tout comme celle du nutriscore afin de s’y opposer, la raison n’est que financière car si le nutriscore vient à s’appliquer à leurs produits la baisse du profit serait flagrante due à leurs excès de sucres, sel et graisse.

C’est donc pour cette raison que les lobbys en viennent aussi à lutter contre cette nouvelle méthode de consommation. Leurs profits touchés cela permettrait de faire prendre conscience aux consommateurs a quel points les manipulations des lobbys alimentaire sont puissantes mais aussi indéniablement contre la santé publique.

Leur pouvoir d’assister et de peser dans les lois ne leur permet pas cependant d’enlever le nutriscore mais celui-ci n’étant pas obligatoire en Europe, ils ne sont pas obligés de le subir et donc de montrer à quel point la qualité de leurs produits porte atteinte a notre santé sans forcément que nous nous en doutions.

Pourrions-nous, consommateurs, privilégiez de nouveaux modes de consommations afin de lutter contre le lobbying ?